Ces derniers temps, les discussions sur les changements sociaux, technologiques et économiques portent le hashtag « mégatendances » sur les réseaux sociaux. Une question qui revient souvent : « Les emplois d’aujourd’hui seront-ils remplacés par des Intelligences artificielles et des robots d’ici 2030 ? » Que l’industrie du futur ait besoin de bras humain ou non, il convient d’anticiper les demandes futures en s’informant sur les compétences professionnelles utiles à l’avenir…
Point sur l’impact de la généralisation des nouvelles technologies dans le monde du travail
Doit-on avoir peur de l’évolution exponentielle dans le monde de l’emploi ? Ou devrions-nous l’accueillir à bras ouvert pour tirer parti de ses opportunités ? Les avis à ce sujet sont mitigés… Certains considèrent l’intelligence artificielle, le metaverse ou encore le tout numérique comme une menace pour leur profession. D’autres y voient une transformation positive, un prochain chapitre du monde que l’on connaît aujourd’hui.
Après tout, nous avons déjà traversé un grand changement industriel et en sommes sortis grandis. Au XVIIIe siècle, cette révolution axée sur la technologie a contribué à un chômage important dans les pays en développement, avant que certaines innovations conduisent à de meilleurs résultats. Les spécialistes en la matière prévoient que d’ici 2030, un travailleur sur cinq verra la demande concernant ses compétences professionnelles diminuer. Cela peut sembler énorme, mais ce chiffre est bien inférieur à ce que les études récentes suggèrent sur la généralisation de l’automatisation, de l’IA et du metaverse.
En attendant, les étudiants qui profitent d’un cadre agréable en passant par https://www.kley.fr/ peuvent prendre en considération cette réalité pour se préparer à la nouvelle ère industrielle.
Quelles seront les futures compétences recherchées par les entreprises de demain ?
De nombreuses études ont déterminé les compétences en voie de devenir importantes sur les lieux de travail. Bon nombre d’entre elles indiquent que la conception technologique sera le savoir-faire le plus recherché.
En pôle position, on retrouve donc des métiers en lien avec la cybersécurité, le cloud computing ou encore la data et l’IA. Elles sont suivies de près par les performances de la pensée critique. Les compétences en communication ne sont pas en reste puisque de nombreuses entreprises auront besoin d’as de l’écoute active, de la prise de parole, de l’écriture et de la coordination éditoriale. Loin d’être une mode passagère comme celle du hand spinner, ces secteurs d’activité ne meurent pas.
Au contraire, ils évoluent et s’adaptent à leur époque. D’un autre côté, il est nécessaire de prendre en compte l’arrivée des innovations dans la Tech. Celles-ci seront la cause d’apparition d’emplois très différents de ceux que nous connaissons actuellement. On peut notamment citer la disparition des caissiers, remplacés par des caisses automatiques dans les supermarchés, la généralisation des voitures sans conducteurs ou encore les robots qui lavent les locaux des entreprises et tondent les pelouses des particuliers.
Toutes ces nouveautés supprimeront certainement des emplois et en créeront d’autres parallèlement. La meilleure chose à faire n’est donc pas de considérer ces changements comme des menaces, mais plutôt de les accueillir comme des opportunités d’adaptation au monde de demain.
